Bonsoir
But the Raven, sitting lonely on the placid bust, spoke only
That one word, as if his soul in that one word he did outpour.
Nothing farther then he uttered—not a feather then he fluttered—
Till I scarcely more than muttered “Other friends have flown before—
On the morrow he will leave me, as my Hopes have flown before.”
Then the bird said “Nevermore.”
Mais le corbeau, perché solitairement sur le buste placide, ne proféra que ce mot unique,
comme si dans ce mot unique il répandait toute son âme. Il ne prononça rien de plus ;
il ne remua pas une plume, — jusqu’à ce que je me prisse à murmurer faiblement :
« D’autres amis se sont déjà envolés loin de moi ;
vers le matin, lui aussi, il me quittera comme mes anciennes espérances déjà envolées. »
L’oiseau dit alors : « Jamais plus ! »
comme si dans ce mot unique il répandait toute son âme. Il ne prononça rien de plus ;
il ne remua pas une plume, — jusqu’à ce que je me prisse à murmurer faiblement :
« D’autres amis se sont déjà envolés loin de moi ;
vers le matin, lui aussi, il me quittera comme mes anciennes espérances déjà envolées. »
L’oiseau dit alors : « Jamais plus ! »
Poème d’Edgar Allan Poe, traduction française de Baudelaire.
Merci
Avec plaisir 🙂
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